Avec ma compagne, Delphine Kassem, nous avions ouvert un cabaret dans le quartier de Mae Ploem à Phnom Penh, où nous produisions des spectacles de théâtre d’ombres, des ballets de danse traditionnelle et des numéros de cirque. Pour la promotion, comme je répugnais à payer des encarts publicitaires, Delphine négocia avec la direction du quotidien en français Cambodge-Soir la publication en feuilleton d’un des mes romans:
Les Douves d’Angkor.